Maman
Le jeune Marcel, le narrateur dans Le Temps Perdu, est fortement attaché à sa mère. Quand il est petit, il craint leur séparation chaque soir à Combray et en plus, il avait peur de rater le baiser de nuit de sa mère.
Ce sentiment de qui le lie à sa mère se poursuit dans le deuxième volume aussi.
(Marcel Proust : …une séparation apparait brusquement impossible à souffrir, alors qu’elle n’est déjà plus possible à éviter, ….p.217/514 À l’ombre des filles en fleurs)
Travaux d’aiguille, tissu, cheveux humains, fil à coudre, une pair de ciseaux.